1. albumine.
2. gouffre.
3. hammam.
4. polygone.
5. charrue.

Les trois premières listes concernent le redoublement de consonnes. Il faut connaître l'orthographe des mots présentant ces particularités.
La quatrième liste présente des mots avec ou sans accent circonflexe.
La cinquième série peut déstabiliser car l'erreur ne porte pas sur le redoublement ou non du r, mais sur le –e final.

1. tétragone.
2. kérosène.
3. télescope.
4. violet.
5. aparté.

Une des difficultés de l'orthographe française tient au fait que toutes les lettres ne sont pas « utiles » grammaticalement (certaines sont par exemple des lettres étymologiques).
Dans la cinquième série, on remarque que le e n'est pas toujours la marque du féminin : si aparté, nom masculin, s'écrit sans e, caducée, nom également masculin, se termine par un e.

1. et 2. Les porte-clefs, des passe-partout : les deux éléments d'un nom composé prennent la marque du pluriel sauf les adverbes et les verbes.
3. Quelles que : dans l'expression « quel que + verbe attributif au subjonctif », quel se substitue à l'attribut et s'accorde donc avec le nom (ici, avec propositions, nom féminin pluriel).
4. leur adressa : dans cette phrase, leur n'est pas un déterminant possessif (qui s'accorde avec le nom) mais un pronom personnel complément.
5. les quatre cent trois pages : les déterminants numéraux multiples de cent et de vingt (quatre-vingts, etc.) ne prennent pas de –s lorsqu'ils sont suivis d'un autre nombre.

1. présentées : le participe passé conjugué avec avoir s'accorde en genre et en nombre avec son complément d'objet direct si celui-ci est placé avant, comme c'est le cas ici (les corrections).
2. seront acceptées : le participe passé employé avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet (vos raisons).
3. Perdus : le participe passé s'accorde ici avec le pronom ils, comme un adjectif détaché.
4. Cette phrase ne comporte pas d'erreur.
5. il a voulu : vieille maison est COD de acheter et non de a voulu, il n'y a donc pas d'accord.

1. où il est : où est ici pronom relatif et indique le lieu.
2. à manger : attention à ne pas confondre à préposition et a auxiliaire avoir conjugué à la troisième personne du singulier.
3. Quelques fois : il s'agit du déterminant indéfini placé devant un nom et variable en nombre (presque toujours au pluriel).
4. demi-heure : demi utilisé devant un nom est invariable, en revanche il s'accorde en genre lorsqu'il est placé après un nom (ex : trois heures et demie).
5. tout effrayée : tout adverbe (pouvant être remplacé par tout à fait) est invariable devant un adjectif au féminin commençant par une voyelle ou un h muet (elle est tout effrayée, elles sont tout heureuses). Il prend la marque du féminin et du pluriel devant un adjectif au féminin commençant par une consonne ou un h aspiré (elle est toute triste, elles sont toutes honteuses).

1. Quant à lui : il ne faut pas confondre quant, locution prépositive employée avec à, au, aux, avec quand adverbe ou conjonction.
2. Quoi qu'il fasse : quoi qu' (en deux mots) équivaut à quelle que soit la chose qu' et est suivi d'un subjonctif. Quoiqu' (en un mot) équivaut à bien que et est suivi du subjonctif.
3. Quelques personnes : quelque(s) placé devant un nom est un déterminant indéfini variable.
4. vos résultats s'en ressentent : le pronom adverbial en représente le segment de phrase précédent.
5. Qu'il ait du mal : il s'agit ici du verbe avoir à la troisième personne du singulier du subjonctif présent.

1. partir plus tôt : pour distinguer plus tôt de plutôt, qui indique une préférence, on peut le remplacer par son contraire, plus tard.
2. Ceux qui souhaitent : ceux est un pronom démonstratif antécédent du relatif qui.
3. la remarquer : la est un pronom personnel complément, que l'on peut remplacer par le pronom personnel complément masculin le pour éviter la confusion avec l'adverbe de lieu là ou avec le verbe avoir conjugué.
4. la chercher : le verbe chercher est ici à l'infinitif. Lorsqu'on hésite entre l'infinitif et le participe passé d'un verbe du premier groupe, on peut le remplacer par un verbe ne se terminant pas en –er, comme prendre ou faire.
5. les enfants somnolents : il s'agit de l'adjectif verbal, qui s'accorde avec enfants, nom masculin pluriel ; à ne pas confondre avec le participe présent somnolant. Si dans l'exemple, la terminaison de l'adjectif verbal et celle du participe présent diffèrent, ce n'est pas toujours le cas. Il faut donc être vigilant.

1. S'il pouvait, il viendrait : on utilise le conditionnel présent après la forme si + imparfait.
2. Venez : il s'agit de la forme impérative, marquée par l'exclamation et l'absence de pronom personnel.
3. Bien qu'il soit : dans la proposition concessive introduite par bien que, le verbe est au subjonctif.
4. Il dut : il s'agit ici du passé simple du verbe devoir. Dû correspond au participe passé de devoir. La forme dût n'existe pas.
5. Vous conclurez : il s'agit du futur simple et non du conditionnel (concluriez). La forme concluerez n'existe pas.

Pour réussir ce type d'exercice, il faut maîtriser les terminaisons, les temps et les modes verbaux.

1. Accort est un adjectif qui signifie « gracieux », « enjoué », « avenant ». Acore renvoie à une plante aquatique.
2. Butter une plante signifie « disposer de la terre en petite butte autour du pied ». Butée renvoie à une pièce mécanique destinée à supporter une poussée.
3. Une hotte est un grand panier que l'on porte sur le dos. Haute est un adjectif. Un hôte est une personne qui offre son hospitalité, qui reçoit quelqu'un.
4. Le far breton est une sorte de flan.
5. La chasse à courre se pratique à cheval, avec des chiens.